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Je prie, je fais une mitsvaEn pensant à un membre de votre famille, à un ami, ou à une simple connaissance, vous faites une immense mitsva !

Souffrir avec celui qui souffre, pleurer avec celui qui pleure, et  l’aider par tous nos moyens est l’accomplissement d’une immense mitsva. Envoyez-nous un kvitel, le tsadik de Tchernobyl priera pour lui. En un clic,  vous faites une mitsva !

 

Faire le Bien, aider, soutenir, encourager dans l’épreuve, et être là pour celui qui en a besoin… La volonté d’aider l’autre est une notion universelle, que chaque être humain ressent.

Il y a 3 500 ans, alors que le monde gisait encore dans la violence et l’idolâtrie, la Thora, donnée au Mont Sinaï, offrait à l’humanité les modalités de la générosité et de l’entraide. La Thora précisait notamment que le monde tient sur trois piliers : l’étude de la Torah, le service de D.ieu et les actes de bienfaisance.

 

Elle édifiait l’altruisme comme un commandement divin, régit par des lois et des principes. Parmi ces lois, la Torah nous enjoint de prier pour la téchouva des fauteurs et non pour leur destruction, même s’ils nous ont causé du tort.

 

 

Elle définit également que la prière fait partie des actions que nous pouvons mettre en place pour aider ceux que nous aimons. Prier n’est donc pas seulement une bonne intention mais une action concrète, un acte de générosité et d’entraide.

 

Plus encore, la Thora nous montre comment, en priant sincèrement pour un proche ou une connaissance, on bénéficiera de l’aide divine.

 

La Paracha nous montre comment Avraham Avinou fut capable de prier pour qu’Aviméle’h ait la joie d’avoir un enfant. Acte attestant de la grandeur de son auteur car comme on le sait, Avraham, qui était très âgé, n’avait lui-même pas encore d’enfant. En outre, Avraham pria pour Aviméle’h qui avait kidnappé sa femme, Sarah. Mais après avoir pu délivrer cette dernière, Avraham eut pitié d’Aviméle’h et pria pour lui.

 

A la suite de cet événement, la Thora nous révèle le miracle extraordinaire qu’Hachem fit à Sarah et à Avraham, en ouvrant les portes de la fécondité jusqu’ici fermées (21 ; 1). On dit en effet « qu’Hachem s’est souvenu de Sarah ». Rachi commente ce verset en rapportant le Talmud (Baba Kama 92) qui explique que celui qui prie le ciel d’accorder à quelqu’un un bienfait dont il a lui-même besoin, sera exaucé en premier. Il s’agit en effet d’un véritable acte de tsidkout, de sensibilité et d’altruisme. On comprend pourquoi un tel acte mérite une récompense particulière. Ce principe est également mentionné à propos de Job. Il est écrit en effet, « D.ieu compensa les pertes de Job après qu’il eut prié pour ses amis. » (Job 42 ; 10)

 

En priant pour l’un de vos proches, vous agissez concrètement pour le Bien, car D.ieu attend la prière des hommes.

 

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