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FORTUNE RETROUVEE« Grâce à la bénédiction du Rabbi de Tchernobyl, le premier jour de ‘Hanouka, j’ai retrouvé toute ma fortune. »

« En arrivant de Marseille à Paris, je me suis lancé dans les affaires. J’ai vraiment trouvé ma voie dans la décoration et le matériel de bricolage. En quelques années, j’ai gagné beaucoup d’argent.

Etant pratiquant, je donnais toujours aux associations. A la suite d’une concurrence déloyale, j’ai dû, en quelques mois, déposé le bilan. J’ai porté plainte contre mes concurrents, et j’ai perdu, ayant aussi à payer les frais de justice. Bref, j’avais tout perdu.
Je ne comprenais pas comment cela avait pu m’arriver, car c’est toute ma vie qui allait devoir changer. J’avais pris certaines habitudes, sans parler de ma femme et de mes enfants, qui vivaient notre faillite très durement, tant pour la descente de notre niveau de vie que pour ma tristesse, moi qui avait perdu mon travail et ma dignité.

J’ai eu la chance de rencontrer des Hassidim de Tchernobyl, de passage à Paris. En fait, du temps de ma splendeur, je donnais toujours à cette ‘Hassidout, car je trouvais leur action extraordinaire.
Je leur ai raconté, presque en pleurant, mes échecs, mon revirement de fortune. Je voyais sur leurs visages qu’ils étaient bouleversés, presque autant que moi. Le simple fait de les sentir concernés par mon histoire, alors qu’ils me connaissaient à peine, me faisait chaud au cœur.

Nous étions au mois de décembre. Ils se sont regardés, et l’un d’eux m’a proposé de venir en Israël rencontrer le rabbi de Tchernobyl.
Je ne savais pas quoi dire… Laisser ma famille juste au moment de la fête de ‘Hanouka, partir en Israël alors que je devais reconstruire ma vie à Paris, et puis… Je n’avais même pas de quoi payer le billet !
Finalement, ils m’ont convaincu que c’était important. J’ai emprunté l’argent à mes parents… J’avais tellement honte, mais je sentais que je devais le faire.
Nous avons voyagé quelques jours plus tard, les ‘hassidim et moi. C’était le premier jour de ‘Hanouka.

Quand je suis entré dans la maison du Rabbi, et qu’il est venu à ma rencontre, je me suis immédiatement senti rassuré : son sourire, son regard si doux, si proche de moi. Nous avons parlé un moment, je lui ai raconté ma vie. Il était triste avec moi, mais on sentait qu’il était confiant. Les ténèbres allaient laisser la place à la lumière. Il m’a fait une très longue bra’ha. Je n’ai pas tout compris, mais je sentais sa concentration, sa ferveur.
Deux jours plus tard, je repartais vers Paris.
Là, une surprise m’attendait. Toute ma famille (femme, enfants, parents, oncle, tante cousin) s’était réunie pour un allumage des bougies de Hanouka chez moi, à la maison. En regardant les bougies, j’avais l’impression que tout était possible…

Quelques semaines plus tard, j’ai eu la chance de rencontrer un homme d’affaires anglais, qui avait besoin d’un gérant. Il avait une importante fortune, et avait besoin d’un homme de confiance à Paris.
Par son biais, j’ai rencontré des investisseurs auxquels je n’aurais jamais eu accès, et à qui j’ai pu proposer certains de mes projets de business. Ils ont cru en moi, j’ai travaillé dur. En quelques mois, mes affaires ont repris. Aujourd’hui, j’ai retrouvé toute ma fortune. Mais j’ai beaucoup plus que cela : une confiance absolue en D.ieu. Je sais sans aucun doute qu’après les ténèbres vient la lumière et qu’il ne faut jamais se laisser abattre… »

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