Le Rabbi de Tchernobyl – La pureté existe

Il réalise chaque année, à Paris, la ségoula de la réussite financière. Il faut dire que le Rabbi de Tchernobyl a une affection toute particulière pour les Juifs français. C’est parce qu’il ne ressemble à personne, qu’une journée de l’Admour ne ressemble à aucune autre. Découvrons minute par minute cet homme extraordinaire.

Pour venir réaliser à Paris la ségoula de réussite financière (cette année le 18 janvier), l’Admour se déplace à Paris, abandonnant toutes ses responsabilités et ses obligations, et quittant pour quelques jours son quotidien fait de dévouement et de kedoucha.

Il commence sa journée la nuit

La journée du Rabbi ne commence pas le matin, mais en pleine nuit, alors que la ville dort. Les jeunes étudiants de Thora, et certains des voisins du Rabbi, l’ont souvent surpris vers 2 heures du matin, alors qu’il revient du mikvé, où il se rend chaque nuit, parcourant les petites ruelles de Bné-Brak, dans l’anonymat le plus complet, et sans aucun de ses ‘hassidim.
C’est ainsi qu’il commence sa journée, par un bain de pureté. Jusqu’à 6h00 il étudie le Talmud, jusqu’à 11h00, il prie le Créateur d’accorder Sa miséricorde au peuple juif. Il prie très longuement chaque jour. Durant cette prière, il est toujours sollicité pour mettre les premières tefilinesd’un bar-mitsva, pour être le sandak d’un nouveau-né, ou encore pour couper la première mèche d’un garçon de trois ans, pour le rituel de la coupe de cheveux.

Ni manger, ni dormir

Jusqu’à 11h30, il reçoit le public pour les cas d’urgence (décision médicale, business, mariage), et à 13h15, il reçoit les étudiants de la Yéchiva, pour suivre personnellement leur évolution et répondre à leurs questions sur le Talmud.

Jusqu’à 14h00, il étudie à nouveau les textes saints. De 14h00 à 15h00, il rentre une heure à son domicile. C’est le seul moment qu’il passe chez lui !

Après Min’ha, à 17h30, il mange enfin pour la première fois de la journée. En effet, le Rabbi jeûne trois jours par semaine.

De 20h00 à 23h00, il reçoit le public, et répond à toutes les questions. A 23h00, commencent les coups de fil de l’étranger. Vers minuit, il va dormir dans son bureau, durant deux heures, avant de reprendre une nouvelle journée.

Une prière qui déchire le Ciel

Chaque jour, le Rabbi répond aux demandes de VaadHarabanim et des grandes caisses de tseddaka. Il gère également le fond de charité de la ‘Hassidout et décide des aides que doivent recevoir ceux qui en ont le plus besoin.

« Il prie longtemps, mais ses prières montent très vite au Ciel », dit de lui le Rav Yossef-Haïm Sitruk. Et en effet, dès qu’il en perçoit le besoin, le Rabbi de Tchernobyl se rend au Kotel, ou au KeverRa’hel, ou encore sur la tombe du Shimon Hatsadik afin de prier pour le destin du peuple juif. Chaque jour, il se rend sur la tombe de son père, le tsadikMechoulemZoussia, sur celle du HazonIch et des Admourim. Cette messiroutnéfesh pour le peuple juif, cette vie consacrée à servir le Créateur du monde, donne une force toute particulière à la prière de l’Admour. Et c’est d’ailleurs une tradition familiale. La catastrophe nucléaire de Tchernobyl eut lieu après que les tombes des ancêtres du Rabbi aient été profanées par des antisémites…

Le Rabbi de Tchernobyl réalisera, à Paris, la ségoula de la réussite financière le lundi 18 janvier 2016. Informations : 08 05 08 00 40.