« Lorsque je suis tombée enceinte, on a fait une échographie de l’embryon à 13 semaines, et les médecins ont constaté une anomalie dans le cou du bébé, ce que pouvait signifier une trisomie ou une anomalie plus grave encore.
J’étais effondrée. J’avais l’impression que ma vie ne serait plus jamais comme avant. Je ne savais pas comment réagir face à cette terrible nouvelle.
J’ai prié, j’ai pleuré pour demander à Hachem de m’épargner cette épreuve.
Quand j’en ai parlé à mon mari, il a immédiatement décidé de se rendre auprès du Rabbi de Tchernobyl pour lui demander une bra’ha. Nous avons eu la chance de pouvoir le rencontrer le jour même.
Mon mari a donc fait le voyage à Bné-Brak et m’a dit qu’il comptait faire un don, car « la tsedaka fait des miracles ».
Il a rencontré l’Admour, qui lui a dit de ne pas poursuivre les examens, et donc de ne plus faire aucune échographie. Il lui a dit que tout irait bien, qu’il n’avait pas à s’inquiéter. Mon mari m’a dit en sortant de son bureau :
« La simple sensation de sérénité, et le fait de sentir le Rabbi si confiant, si sûr de lui, m’a suffi. Je suis beaucoup plus serein. »
Nous avons donc interrompu tous les examens.
Cinq mois plus tard, j’ai accouchée d’une petite fille parfaitement normale, un beau bébé de 4, 225 kg. Mon premier mot a naturellement été de demander à la sage-femme si le bébé était normal. Elle m’a souri, m’a répondu positivement. J’ai pris le bébé sur moi. Ce fut un moment d’une joie inouïe. J’ai immédiatement remercié Hachem et j’ai eu une pensée pour l’Admour, dont la bénédiction avait été si efficace. »